Combien de temps les mensonges restent-ils endormis ?
Mount St. Helens, 1980.
Truman, vivant sur la montagne depuis des décennies, rencontre Bird, une volcanologue qui a traversé le continent en voiture, traînant avec elle un passé chargé. Leur rencontre sera tout aussi imprévisible que le volcan à proximité, prêt à exploser d’un moment à l’autre.
AVERTISSEMENT : violence conjugale et intra-familiale, bruits forts, présence d’une fausse arme à feu, machine à brouillard.
Pour les 16 ans et plus.
For our English-speaking audience, performances with English surtitles will be available on November 6 and 8.
Texte et mise en scène : Marie-Thé Morin
Théâtre de la Vieille 17
Texte et mise en scène : Marie-Thé Morin
Scénographie : John Doucet
Musique et environnement sonore : Martin Dawagne
Éclairages : Michael Brunet
Régie : Emily Payeur
Costumes : Mylène Ménard
Interprétation : Gabrielle Brunet Poirier et Roch Castonguay
Surtitres : Natalie Fehéregyházi
90 minutes
Les activités autour du spectacle :
🌎 Jeudi 6 et samedi 8 novembre – Surtitrage en anglais
Vous n’êtes pas tout à fait à l’aise avec votre français? Vous souhaitez faire une sortie au théâtre avec vos ami·e·s anglophones? Pas d’inquiétude, nous vous proposons des représentations avec surtitres en anglais.
🗣 Vendredi 7 novembre – Discussion après spectacle
Après la représentation nous vous invitons à rester dans la salle pour échanger avec les artistes, un bon moyen d’assouvir votre curiosité sur le processus de création et les thèmes abordés.
🎨 Samedi 8 novembre – Heure du conte et du brico
Cette année, en collaboration avec le Théâtre de la Vieille 17 nous lançons une nouvelle offre pour les familles !
Pendant la représentation, un service d’animation pour les enfants de 5 à 12 ans est offert dans une salle à proximité de la salle de spectacle.
Réservez vite votre billet pour votre·vos enfant·s, les places sont limitées !
Pour toute question, veuillez contacter la billetterie:
billetterie@nouvellescene.com
(613) 241-2727, poste 101
Ce spectacle est présenté par La Presse





Crédit photos : Jonathan Lorange