Pacific Palisades
En 2015, Jeffrey Alan Lash, qui prétend être mi-homme mi-extraterrestre et travailler pour les services secrets américains, est retrouvé mort dans sa voiture. Des millions de dollars en armes, munitions et argent comptant sont découverts dans son garage. Fasciné par ce fait divers incongru, un homme prend l’avion pour Los Angeles afin d’enquêter sur cet individu mystérieux. En croisant sur son chemin de nombreuses figures ayant gravité autour de Lash, il découvre progressivement les multiples identités de l’intrigant fabulateur. Avec la complicité de l’interprète Evelyne de la Chenelière, le metteur en scène Florent Siaud en tire un thriller halluciné qui nous rappelle que les pouvoirs de la fiction sont plus fascinants et inquiétants que jamais dans notre monde en plein bouleversement.
Auteur : Guillaume Corbeil
Metteur en scène : Florent Siaud
Compagnie Les songes turbulents en coproduction avec le Théâtre du Trillium, Les Théâtres de Compiègne / Partenaires de production, aides et soutiens : Mairie de Paris, Conseil des Arts de Montréal, Conseil des Arts et des Lettres du Québec, Conseil des Arts du Canada, DRAC Hauts-de-France, Département de l’Oise, Région Hauts-de-France, Région Île-de-France, Centre culturel canadien à Paris, Centre des Auteurs Dramatiques, Chartreuse de Villeneuve-Lès-Avignon, Festival des Francophonies du Limousin, Centre du Théâtre d’Aujourd’hui
Théâtre du Trillium
Texte : Guillaume Corbeil
Mise en scène : Florent Siaud
Interprétation : Evelyne de la Chenelière
Assistance à la mise en scène : Juliette Dumaine
Scénographie et costumes : Romain Fabre
Éclairages : Nicolas Descoteaux
Musique originale : Julien Éclancher
Vidéo : David B. Ricard
« Pacific Palisades est un spectacle incroyable et imprévisible qui ne ressemble à aucun autre. Un pari complètement fou et osé. Un immense coup de cœur, à voir absolument. » Frédéric Bonfils, Fou d’art
«Dans Pacific Palisades, l’actrice au physique délicat va jouer… Guillaume Corbeil, l’auteur même de ce solo vertigineux campé entre fiction et réel.» Marie Labrecque, Le Devoir
1h15 minutes sans entracte