« Est-ce la fin ou le début d’un monde? ». Marc Parent à l’architecture lumineuse, Michel F Côté à l’environnement sonore et Catherine Tardif en gardienne du mouvement et du corps féminin explorent, entre grâce et frayeur, les mystères anciens du clair-obscur. Retour sur ces trois soirées de représentation suivi de l’interview de l’interprète Catherine Tardif.
Photos : Catherine Archambault
INTERVIEW Catherine Tardif :
Présentez-vous rapidement (où habitez-vous actuellement, où avez-vous grandi, que faites-vous en ce moment, sur quel projet travaillez-vous…) ?
Je vis à Montréal, je travaille sur la reprise de La jamais sombre.
Quand avez-vous commencé la danse ?
J’ai commencé la danse à 15 ans, et depuis, me suis toujours considérée comme imposteure…
Qu’est-ce qui vous motive/inspire dans votre pratique ?
La rencontre avec les autres
Quels sont les principaux défis que vous devez relever dans votre pratique artistique, en général ou dans ce spectacle ?
Combattre ce fameux sentiment d’imposture!
Quelles sont vos influences et quelle est votre œuvre artistique préférée?
J’adore le cinéma, peu importe le genre, ou même la qualité. Il y a toujours quelque chose d’émouvant…
Avez-vous une œuvre qui vous a touché et que vous avez découvert récemment à partager à nos lecteurs ?
De si jolis chevaux, de Cormac McCarthy
Avec quel.le artiste aimeriez-vous collaborer le plus, pourquoi ?
Le prochain ou la prochaine qui sera sur ma route!!
Merci à Catherine pour ces réponses et encore bravo pour votre performance !